Catin de latin

Icône oculaire bleu-gamine; réconfort sociétal vert-constant
Le maternel mentionne, donc on exécute.
Rien ne traîne, mais tout est placé. Facilité persécute.
Dialogues, émotions secrètes, sourires blancs. Non-poupée de tous les temps.

Délectation de délires délicieux lorsque l’aube se repose
Preuve d’une enfance inachevée; une confidente de soleil
Une collection de soi-même alors que la perfection crépusculaire veille
Une énumération de traits de porcelaine sur l’âme se dépose.

L’intemporalité des aiguilles trouvent les tenues astrales.
La succession de lettres parfaitement agencées, dans le satin
Les cheveux et la robe monologuent un exercice langagier du matin.
Les joues pompières qui n’éteignent pas de feux sont magistrales.

Déspleenisatrice d’âme aigrie par le désir de romaniser
Créatrice de bonheurs épars, sous toutes formes, courbes origamiques
De l’oreiller aux pages uniques d’un récit organique
Chut! … Silence! … Raconte-moi une histoire aromatisée.

Superlatif professoral rencontre des pas calculés de salsa
La langue se perd partout, sauf ici, astralisatrice puella
Alter ego, récital de poésie sous la pluie servant d’umbrella
Pas de ceteris paribus pour la folie, Aragon est fou d’Elsa.

Déclinaisons de regards entiers dans un moment idem
La rive semble plus proxime lorsque le gouvernail est transparent.
Belle, belle, belle, etc. C’est apparent.
Yeux de denim d’une mode infinie; carpe diem.

Lèvres de trompette ordonnancées à un sourire de calembour
Musicienne d’information attitrée à l’artistique sans patin
Acrobate d’émerveillements étoilés, à en perdre son latin
À l’origine des autres, fusion symbiotique, éternelle histoire d’amour.

Déspleenisatrice d’esprit rongé par le souhait de romaniser
Fabricante de félicités diverses, sous toutes formes, design origamique
Des couvertures à la narration intemporelle d’une réalité organique
Chut! … Silence! … Je vais te raconter une histoire aromatisée.